Ariège Vèbre Chemins Faisant - Les Eglises et leur histoire III

Publié le par Le Castor

Quelques revenus de l'église

 

Les principaux revenus proviennent des quêtes, des messes Ainsi que des dons et legs.

Les anciens impôts Dîme et décimes furent supprimes à la Révolution. État Jusqu'à la séparation de l'Église et de l '  ce dernier rémunérait l'Église. Le prêtre Disait Normalement la Messe dominicale vers 10h ou 11h, il en célébrait Une plus matinale le dimanche pour les patres Qui ne pouvaient pas Assister à la grand messe, pour cela il percevait, de la Commune, 150F à Vèbre. Après la séparation de l'Église et de l'Etat toutes les subventions et traitement de l'état furent supprimes. Le denier du culte Qui Don des Nations Unies est fidèle NE FUT pas bien sur Touché.

Sous l'Ancien Régime.

Les Lettres  de 1744 et 1747 nous éclairent un peu sur les revenus de l'Église. Le recteur Avait Donc le Cru Manuel de l'église, Les Droits bassin deEt Le quart des fruits décimaux, Le Excédent Etant pour l'Abbé. Decime Le sous l'ancien régime Était l'impôt  Que l'Église payait au roi; après 1680 Avait IL (à Vèbre) outre Le Cru et Le Droit de Bassin La moitié des fruits décimaux Soit un quart de plus, mais il devait s'acquitter des sixième des pauvres et faire bien sur les Réparations à l'église. Ainsi l'abbé de St Volusien À qui appartenait la cure de Vèbre depuis le XI siècle, Qui encaissait décimes et Dîme, ne dépensait pas un centime pour Aider la paroisse à rénover  et agrandir son église. IL EN Était de même de la commune Qui N'a Reçu Une première subvention que sous le Empire 3 °.

Autre revenu important et très mal vu la Dîme. C'était un impôt en nature Destiné à l'Église. Il consistait à prélever un Dixième de toutes les récoltes pour l'Eglise, y compris sur les haricots  (Réponse de l'évêque au curé de Garanou). Ainsi les gerbes de blé ne pouvaient être Rentrées qu'après que le contrôleur de la Dîme eut noté la quantité à prélever. Toute la production de cet impôt n'était pas pour le Curé Qui ne percevait que les deux dixièmes, Parfois plus, Le Reste Allait à l'Abbé et à l'Evêché. L 'Eglise quant à elle prenait à sa charge les Hospices. Elle distribuait aussi des vivres et céréales en cas de famines fréquentes, ou en cas de Dévastation  Comme à Mirepoix Lors de la destruction de la ville par Une inondation. Avait elle seule, avec le comte en province, cette Capacité de Secours.

 Une partie de la SCÉ produits pouvaient être consommés ou en servait,, La nature, un préparateur le pain des communautés pour le froment,  à nourrir les montures des religieux (le fourrage Était aussi soumis à la dîme) et les volailles Parfois Qu'ils avaient. Mais la partie Qui revenait à la hiérarchie devait être acheminée vers Foix Pamiers al. Les abbés et évêques ÉTAIENT aussi d'Important seigneurs religieux Donc ils avaient des Domaines Pouvant recevoir TOUTES CES marchandises. Mais à un moment ou un autre Il fallait bien la vendre pour Avoir de l'argent en espèces. IL EN Était de même pour les affermes  Biens de, Comme Le Moulin de Vèbre, Le fils de meunier payait en fermage setier de blé en oeufs et en volaille, Ultérieurement nous en reparlerons. Les seigneurs percevaient aussi UNE PARTIE DE LEURS impôts en nature. Il devait y Avoir du trafic sur la Voie Royale de l'ONU Charroi incessantes beaucoup et d'animation. Au Moyen-Age et la Renaissance à la seule L'Eglise et le comte et quelques bourgeois  Avait La Possibilité de preter des sommes importantes aux seigneurs. Elles étaient remboursées souvent en terrains et autres biens Qui agrandissaient les possessions du lender  .

Les obits

Ils consistaient a un Donner Bien au recteur ou curé en échange de Celui que Mess-ci »Disait pour le repos de l'âme du donateur. M. Le Curé lui donnait CES biens en afferme, ou en rente et SE Faisait Payer en argent le jour de la Toussaint. Ces opérations ÉTAIENT enregistrée chez le notaire, pour Soulez Vèbre, Enregistrées Puis à l'Evêché.

Nous avons connaissons L'état des obits possédé par l'Église de l'ONU Vèbre Par bordereau Par Le Maire fait Lafaille Entre 1794 et 1796 et Trois établies par copie d'actes par le notaire à Tarascon Royal.

1 ° Un champ à Azet (derrière le moulin), contenances 8 sétérées 4; 24 mess.

Acte passé le 12 mars 1669 entre  Sieur de Fantillon (seigneur de Vèbre) et le recteur Bazerque. Une messe sera dite tous les 15 jours le lundi ou samedi en présence de la famille.

2 ° Un champ à Cosmaret Urs, Paroisse  de Vèbre, contenance 3 mesurée   pour Messe, anciennement Tenu en afferme par Pierre Bonnet

3 pré uN °  à Lassur à Pont Grabier  3 mesurées 3m Tenue en titre gracieux pour afferme par Messe

Donné en obit le 13 novembre 1687 Prêtre de Vèbre M. de Bousquet

4 Champ ° ONU ONU Clarac  à Vèbre  Trois BOISSEAUX  Anciennement Tenu en afferme par Jean Soula.

5 ° Un champ à Vèbre à Aspy  Contient Une mesure  Trois BOISSEAUX  Tenu en rente par Pierre Lafaille, Solette,

 Et un champion possédé par La Fabrique sur la commune de Lassur pris sur la montagne.

Afferme

Le 17 juillet 1681 Raimond Bousquet recteur de Vèbre donne en afferme à Antoine Rauzy  ou siret Liret  Un mage las champ de l'ONU (Vèbre) d'Une contenance de 2 mesurées, Versez Durée Une de 6 ans et renouvelables pour la somme de 25 sols par an. Le fermage Toussaint sera payé tous les ans à la 

La surface mesurée Etait Une Qui pouvait être ensemencée Une mesure nominale de grain, LA MESURE D'UNE seigneurie Une variait l'Autre.

Le denier du culte à Vèbre

Le denier du culte est Versé à l'Évêché Qui le redistribue Selon les Besoins.

Les produits des quêtes Sont pour le Prêtre, sauf quelques unes Vidéos Vidéos Qui sont trouvées pour les séminaires et autres institutions de l'Église.

Lors de l'éruption de la Montagne Pelée Une quête FUT réservée aux Victimes des secours. Le Bulletin Diocésain de l'Ariège donne les sommes Recueillies à l'époque Ainsi q De Celles Différentes quêtes diocésaines.

Était La population de l'ordre de 350 personnes au XVIII ° siècle pour Atteindre un maximum de 454 vers 1850, Puis à Régulièrement elle commence à baisser.

Il avait à Vèbre y 75 familles en 1906.; Le cahier que nous possèdons va jusqu'en 1920.Mais Souvent Dans Plusieurs générations vivaient la même maison Donc un seul denier du culte.

 

De 1906a, 1920

16 familles donnent de 1à 2,50 F

15 familles donnent  de2.5 à 5f

8 familles donnent de 15 bis 20

7 donnent de 10à 20 Une famille Une fois donne 50 et Une fois 100f

Rares sont les familles, deux ou trois, dont les dons vont croissant

Deux personnes ne donnent jamais au denier du culte Elles Sont connues, au moins Verser UNE, pour des idées anticléricales Leurs

Les mess es

Nous avons le tarif des mess pour   1921 En voici le détail.

Mariage, Il Y Avait Trois classes de 3 °, 2 °, 1 °

 

3 ° classe

2 ° classe

1 ° classe

Publication de l'interdiction

3

3

3

Droit judiciaire

5

9

16

Messe

5 Puis rayé

7 Puis 15

8 Puis rayé

Eglise

2

8

10

Sacristain

2

5

5

Sonneur Puis enfant de cœur

3

5

10

Luminaire

«

10

25

Harmonium

«

«

«

Supplément après 10 heures

5

5

10

Autres supplément après 11 heures

5

5

10

Verser le traitement hors-Une classe de Gré à Gré. Les enfants de cœur font Une quête À leur profit.

Distribue un 3FR interdiction; interdictions Deux 6FR, de temps prohibé 10FR.

Sépultures tarif diocésains au 1juin 1921

 

3 ° classe

2 ° classe

1 ° classe

Levée de corps

3

8

10

Droit judiciaire

7

15

25

Messe (ou bureau)

9

11

15

Eglise

5

12

20

L'enfant de cœur

2

4

10

Sacristain

3

5

10

Sonneur

3

5

10

Harmonium

2

5

10

Neuvaine et anniversaires

Droit judiciaire

5

9

10

Messe

6

10

15

Eglise

3

11

13

Enfant de coeur

2

3

6

Sonneur

2

3

6

Cire

5

10

10

Harmonium

2

4

5

La Fabrique

Elles Ont Été créées en 1809, Napoléon nominale; Elles géraient le budget de l'églises sous la Présidence de Monsieur le Curé elle comportait un président un secrétaire et 4 autres membres. Le budget partait de Pâques pour se terminer le samedi saint de l'année suivante selon le calendrier liturgique. La fabrique percevait aussi Une somme sur la location des chaises, vente de cierge et troncs Beaucoup de familles avaient marqué un prie-Dieu à Son nom et Utilisé par la maîtresse de maison.

Les comptes de la Fabrique ÉTAIENT Envoyés à l'évêché et à la préfecture.

Elle  gérait les dons faits à l'église. Le don le plus important de 400f Testament Était Légué Par Par Jean Soula Banquier à Bordeaux (Château de La Remise), Lors de la séparation de l'Église et de l'Etat ce dernier S'est Empare de CE QUE Ainsi Somme d ' Une rente Autre. C'est elle Qui a fait construire l'église actuelle en collaboration avec la Commune.

 

Avec ce chapitre ce termine la que j'ai la documentation réunie sur les églises  de Vèbre. Cette Histoire Est une partie de l'histoire du village. Je vous fais Profiter de mes trouvailles bien volontiers. SI Avez vous des informations ou des documents  Concernant cette histoire Sont ils les biens venus. La charte de 970 SE Trouvé aux Archives nationales à Paris avec bien d'autres documents,  D'autres renseignement sur notre savarthés PEUVENT être trouvé à la BNF Et à la bibliothèque de l'École des Chartes à la Sorbonne, TOUTES CES bibliothèques sont publiques.  Alors si le virus de la recherche historique sur notre Petit Pays n'hésitaient pas vous Piquer, N'est ce pas la le virus dangereux et il procure beaucoup de plaisir LORSQUE L'Trouvé informations inédites sur des.

Marseille le 7 décembre 2009 Jean Michel

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